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- Alice Maës
- 14 nov. 2019
- 1 min de lecture
Il n’y a qu’une force, qu’un bruit de vent
Qu’un bruit d’avion, un son de violon
La nature se froisse dans le bruit des camions
Violente atmosphère,
Vitraux bleus
L’homme s’est arrêté devant l’école, entre deux arbres. Et il regarde son chien pisser.
Rends-toi bien compte que tu mourras
Un jour ou l’autre
Et qu’il faudra s’y préparer
En attendant laisse le temps pisser debout
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