FEU ÉGAL TERREURFeu ailleurs. J’ai entendu le son des crépitements l’autre jour. Ce n’était pas toi, évidemment. Dans ma nouvelle maison que tu as laissée sans rideaux, je couds et je découds pour occulter la lumière du jour, ou l’apprécier encore. A voir. Les poutres font du bruit aussi mais il y a de l’espoir.
--Il n’y a qu’une force, qu’un bruit de ventQu’un bruit d’avion, un son de violonLa nature se froisse dans le bruit des camionsViolente atmosphère,Vitraux bleusL’homme s’est arrêté devant l’école, entre deux arbres. Et il regarde son chien pisser.Rends-toi bien compte que tu mourrasUn jour ou l’autreEt qu’il faudra s’y préparerEn attendant laisse le temps pisser debout