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Quelle douleur de laisser couler les gens, les laisser partir, s’évaporer. Quelle absurdité de ne rien comprendre à ce qui se trame, à ce qui nous lie. Quel ridicule cette vie où rien n’est dit et tout est interprété. Je préfère rester accrochée à mon pilonne de vérités vraies

que de laisser les gens couler

La fleur qui vole dehors alors que la nuit commence et que mon corps parallèle se remet seulement de la soirée d’avant. Je m’arrête, elle se pose et revient. Je dois dormir, après le sourire qu’il m’a jeté je sens que je peux rêver.

La lune dans son bain de nuages noirs, le ventre gonflé. Les courbes de la vie m’ont fait m’arrêter là pour contempler. La lune à l’équateur peut être horizontale. Banane qui t’empêche de dormir.

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