Quelle douleur de laisser couler les gens, les laisser partir, s’évaporer. Quelle absurdité de ne rien comprendre à ce qui se trame, à ce qui nous lie. Quel ridicule cette vie où rien n’est dit et tout est interprété. Je préfère rester accrochée à mon pilonne de vérités vraies
que de laisser les gens couler